Faisons simple et pragmatique. Le premier point, c’est l’avancement. On présente l’avancement du projet par rapport au dernier comité, ce que l’on avait prévu, ce qui a été fait, et les éventuels écarts constatés. 

Ensuite, on illustre cet avancement dans un macro-planning. On y montre les jalons, les éventuels décalages et on explique les raisons de ces écarts. Probablement que ces éléments ont déjà été évoqués, mais ici, on les formalise clairement. 

Une fois qu’on a présenté ce qui a été fait, on aborde ce qui va être fait. C’est le troisième point, les prochaines activités d’ici le prochain comité de pilotage. On garde cette même logique de suivi régulier et concret. 

A ce stade, on fait un point sur les risques. Avant chaque comité, une revue de risques a été menée, on présente donc ici les principaux risques et points d’attention. C’est souvent le bon moment pour prendre des décisions, car les bonnes personnes sont autour de la table. 

Dans ce comité, on intègre aussi les demandes de changement. Pendant le projet, il y a forcément des ajustements, des variantes à étudier. On en discute en amont, et on soumet ensuite les décisions au comité de pilotage pour validation. 

Selon le contexte, on peut ajouter un point financier, si cela a du sens pour le projet. 

Et avant de conclure, on peut également partager un point fonctionnel ou un livrable. Par exemple, ce qui a été produit, une étude, un document ou encore un résultat concret. 

Voilà un ordre du jour simple et efficace, à dérouler de manière régulière, une fois par trimestre au minimum ou une fois par mois selon la taille du projet.  

J’ai fait une courte vidéo à ce sujet, partagez-moi votre avis. Vous pouvez la retrouver juste ici :